Même le dernier jour de l'année, nous regardons les informations et ne nous posons pas la seule question que nous devrions poser.
Les images des guerres en cours affluent : elles font chaque jour des centaines, voire des milliers de victimes ! Ils semblent si loin...
Il politiquement correct la maison impose le rituel : «nos forces armées sont prêtes».
Près de deux ans plus tard, le « message rassurant » que nous recevons est que les forces terrestres peuvent toujours garder les places avec des « Safe Roads » ou intervenir avec des bulldozers et des pompes à eau en cas de catastrophe, tandis que les forces maritimes peuvent intimider certains pirates ou sauver des migrants. , tandis que les compagnies aériennes continuent de garantir des vols essentiellement médicaux ou "brouiller" pour les avions en panne radio ou hors route.
Je ne veux pas douter une seule seconde qu'au-delà des apparences ou de la communication habituelle de la Défense, à l'intérieur des casernes ou des bases, en mer ou dans les airs, nos soldats s'entraînent quotidiennement au combat, même avec ce que passe le couvent...
Même avec une guerre mondiale en cours, nous n'atteignons pas vaguement ces 2 % pour la Défense : une part du PIB qui n'est pas un luxe, mais plutôt un « salaire minimum » pour être crédible et membre à part entière du club que représente l'OTAN. Une alliance derrière laquelle nous nous cachons et dont, quoi qu’on en dise, les États-Unis peuvent largement se passer militairement (et non « politiquement »).
Le monde se prépare à une nouvelle et inévitable escalade militaire. Les autres se préparent parce que le coût du premier jour de guerre direct est 1000 XNUMX fois plus élevé que les maigres économies réalisées depuis le temps de paix.
Depuis deux ans, nous sommes confrontés, comme le dit le Pape, à une « guerre mondiale fragmentée ». Cependant, les conflits sont des pièces d'un puzzle : pour comprendre le tableau, il suffit de les assembler et... de décider de quel côté vous vous situez. Il n’y a plus de place pour l’ambiguïté levantine.
La question fondamentale est la suivante : quand c'est nous qui sommes violés, bombardés et tués... serons-nous capables de réagir ? Ou comprendrons-nous tardivement que les « féminicides » en Italie et en Europe étaient avant tout de notre faute ?