La première ministre Giorgia Meloni a inauguré la rubrique hebdomadaire "Les notes de Giorgia". L'initiative (avec un peu poste... grillino) vise à dire à l'œuvre que "nous l'avons fait pendant la semaine et peut-être donner des réponses sur les sujets les plus chauds et les plus intéressants ou sur lesquels il y a plus de questions. Parce que - pas de problème - pour répondre sur n'importe quoi."
Le premier ministre conclut par un : "... J'utiliserai les prochains épisodes pour répondre à beaucoup d'autres questions qui, j'en suis sûr, viendront".
Le mois dernier, nous avons assisté à la résolution de l'affaire Alessia Piperno. Une intervention consciencieuse en faveur d'un concitoyen tenu par le régime théocratique iranien (à son - espérons-le ! - épilogue terrestre).
J'applaudis donc le premier ministre, confiant qu'un autre abus infâme pourra bientôt être résolu : celui commis par une monarchie absolue contre ses concitoyens Andréa Costantino. Victime de représailles politiques il a passé 15 mois en prison et est coincé dans notre ambassade des Émirats arabes unis depuis 6 mois. Grâce à une intervention directe du président de la République, il n'est plus mordu par des rats dans une cellule crasseuse avec des prisonniers politiques. Nous sommes convaincus que, grâce à "quelqu'un d'autre", le retour à la patrie aura bientôt lieu.
La question pour Les notes de la Géorgie et donc: « Allons-nous ramener notre concitoyen Constantin (après presque deux ans) à la maison ?
(Voir l'épisode Defence ON AIR : "Être italien est-il un péché ? : appel à la présidente Giorgia Meloni")