Des scénarios opérationnels récents ont mis en évidence une utilisation croissante des systèmes d'armes sans pilote. Les drones n'ont rien de nouveau pour l'armée de l'air qui, parmi les forces aériennes occidentales, a atteint un haut degré d'efficacité. Cependant, d'un point de vue opérationnel, l'AM n'utilise ses drones que pour des missions ISR, tandis que d'autres pays les utilisent également dans des configurations armées. Depuis quelques années le Congrès donne le feu vert pour pouvoir armer nos Predators, actuellement en service à la 32e aile ...
Quel est le statut de l'introduction de ces capacités?
Un UCAV stratégiquement capable profiterait-il à notre défense?
Le pilotage de nos actifs sans pilote est désormais possible depuis la patrie. Y a-t-il encore des conditions ou des limites qui l'imposent au théâtre?
Qu'est-ce qui a été fait au fil des ans pour rendre le pilotage de drone moins «froid» et «détaché»?
Comment la motivation et la préparation des coureurs ont-elles évolué au fil du temps?
La cinématographie en général a-t-elle rendu justice ou dénigré la figure des pilotes d'UAV / UCAV?
En Afghanistan, le rugissement de l'AMX a souvent protégé les soldats sur le terrain. Peut-on faire quelque chose de similaire avec des drones?
On en parle CE SOIR à 21.00hXNUMX, dans une nouvelle diffusion en direct de Defence ON AIR. Nous poserons ces questions et d'autres (y compris la vôtre) à deux commandants de groupe de vol servant dans l'Arma Azzurra.
Vous y voir!
Images: Air Force / US Air Force