Malgré le passage du temps, les rouge, dans les exercices, il prend toujours le caractère distinctif de l'ennemi.
Au Nevada, au Base aérienne de Nellis et le Gamme d'essai et d'entraînement du Nevada, l'exercice aérien s'est déroulé du 12 au 24 mars Drapeau rouge, qui a vu la participation d'un grand nombre d'avions de combat et de logistique (une centaine environ) ; en résumé c'était un exercice annuel divisé en trois phases: alors qu'en janvier l'attention était centrée sur la Chine, avec l'implication de la RAF et de l'Air Force australienne, la troisième tranche, centrée sur l'Indo-Pacifique et prévue en août, ne concernera que les USA.
Outre les participations habituelles, la présence des deux avions appartenant à la soi-disant Cinq yeux (États-Unis, Canada, Royaume-Uni, Australie et Nouvelle-Zélande) et à l'armée de l'air israélienne, élément stratégique clé pour Tel-Aviv, qui a déployé pour la première fois 7 F-35I Adir, accompagné de deux RAAM F15.
L'entraînement était orienté vers l'attaque stratégique en profondeur, vers l'atteinte de la supériorité aérienne, vers le vol d'attaque en coordination entre les différentes forces aériennes, vers la défense du territoire, vers l'interception d'avions ennemis, vers le vol à basse altitude et vers attaques (environ 2.200 135) contre des cibles situées dans des endroits inaccessibles et fortement défendus. Le ravitaillement en vol était assuré, pour les avions israéliens, par des avions américains KCXNUMX.
La Drapeau rouge suivie avant la pavillon Bleu de 2021, tenue à la base israélienne d'Uvda dans le but de renforcer la coopération régionale et de tester la réalisation de capacités de guerre complètes avec la simulation de scénarios de combat et de vols conjoints, et a été précédée par Chêne Genévrier de janvier de cette année, activité conjointe avec CENTCOM USA.
D'un point de vue opérationnel, on s'attend à ce que, d'ici 2024, Jérusalem dispose d'au moins 50 avions de cinquième génération.
Géopolitiquement, la nouveauté introduite par pavillon Bleu il consistait en la présence des Émirats arabes unis qui, bien qu'ils n'aient pas déployé d'avions, ont poursuivi le processus de normalisation avec Israël entamé avec les accords d'Abraham. Cependant, la menace iranienne demeure, et est présente tant avec la prétendue progression du programme nucléaire, qui ne peut exclure une intervention militaire, qu'avec les drones dont Téhéran équiperait les milices chiites au Yémen, en Syrie et au Liban.
Dans ce contexte, le déploiement militaire iranien en Syrie, près des frontières de Jérusalem et fréquemment survolé par des avions israéliens, et la reprise des relations diplomatiques entre Téhéran et Riyad grâce à la médiation chinoise, qui a de fait éclipsé la diplomatie de Washington en créant un nouveau et situation d'instabilité potentielle pour toute la région et en particulier pour l'État juif.
Pour Israël, le danger se rapproche de divers points de crise : Gaza avec une nouvelle intifada, la Syrie, le Liban, l'Iran ; compréhensible dès lors la nécessité de mettre en place des entraînements conjoints avec d'autres forces aériennes partenaires.
Au vu de la détérioration de la situation au Moyen-Orient, et de l'avertissement israélo-américain qui prévoit des actions ciblées contre Téhéran en cas d'enrichissement en matière fissile supérieur à 60 %, il doit être considéré comme concevable que toute activité de formation d'un niveau particulier tel que celui des membres de la famille royale expérimentés et performants grève estimations; en toile de fond l'activité anti-israélienne menée avec des tirs balistiques depuis Gaza et le Liban, la recrudescence des actions terroristes et la situation politique interne déstabilisante caractérisée par le fait de ne pas avoir résolu mais seulement reporté la polémique centrée sur la réforme judiciaire soutenue par le gouvernement actuel.
Photo: US Air Force